Les Carnets de voyage d'Enora Milltienne
Enora Milletienne, Bardesse du Haut-Val de son état.
Je ne vais pas relater tout les faits de ma vie, bien que j'ai fait de nombreux voyage, mais le dernier en date me semble des plus intéréssants.
Je voyegeais vers le nord en vu d'étendre mes connaissences sur ces contrées limite glacières quand j'ai rencontré un bon petit groupe de gens désireux de voyager en ma compagnie, et comme je vagabondais au gré de mon envie, j'ai décidée de prendre la même direction qu'eux.
Je ne m'étendrais pas non plus à faire une description de mes compagnons de voyage, ca je sens que si vous lisez ces lignes vous ne tarderez pas à les connaitre aussi bien que moi.
1er jour .
Nous nous somme rendu toute notre joyeyse companieen la ville de Tensia. Assez rapidemment nous nous sommes fait remarqué car Targh notre compagnon mi-ogre mi-orc n'était pas vraiment accepté à la fois de par sa taille mais aussi de par son aspect. Asprès nombre palabre avec les gardes qui ne voulaient pas laisser rentrer toute notre joyeuse companie, il se décidèrent a nous envoyer un mage, une des plus hautes sous-instances de la ville, pour qu'il "sonde" magiquement notre compagnon et nous fasse remplir quelques papiers. Il nous emmenna donc dans une batisse très bien meublé jusqu'à son bureau. Il nous posa quelques question d'usage tout-en vérifaiant magiquement si nous ne mentions pas. Puis nous lui posâmes quelques questions sur la ville.
APPARTE "Tensia possède un conseil de mage qui dirige la ville. Ces dernier sont apparemment d'une puissange ennorme et protège la ville de leur seule présence. Nous n'avons malheureusement pas pu leur parler ni même les voir, car ils sont apparemment très occupés. Je suppose qu'il doit y avoir des tensions entre les mages, car je ne conçois pas un conseil sans tensions."
Pour en revenir à notre petit groupe, nous avons donc réussi a tous rentrer dans la ville. Nous nous sommes assez rapidemment fait indiquer le chemin d'une auberge, "le Repos du Militien", dans laquelle nous allons passer la nuit.
Soirée du 1er jour.
Après avoir diverti l'assemblée de l'auberge et m'être fait quelque menue monaie, j'ai commencé à discutter de ce qu'il se passait en ville avec l'aubergiste, en compagnie de Targh. Mais il s'est avéré assez rapidemment qu'il se passait des choses étranges dans la ville. Nous vîmes de la lumière provenir de l'extérieur, et, curieuse de nature, j'ai accompagnée l'aubergiste à l'extérieur pour savoir de quoi il en retournait.
Dehors il y avait plein de militiens mais aussi des personnes qui semblaient en bien mauvaise posture. Je me suis approchée après avoir demandé à Targh de réveiller mes compagnons pendant que j'allais voir ce dont il sagissait. Je fus assez rapidemment confronté à un problème, étant donné que les gens de la contrée parlaient un dialecte qui m'était alors inconnu. J'eus donc recours à l'un de mes sortilège pour savoir ce qu'ils disaient, mais je ne pouvais pas non plus communiquer. Je les comprennais certes, mais ne parlais pas leur langue. C'est alors qu'un de mes compagnons sorti son grimmoire et se mit à se concentrer. un petite veine sortait de son front et il marmommait des sortes d'incantation. Nous nosâmes pas le déranger, mais il s'avéra qu'une petite demi heure plus tard, il parlais leur langue. comme si il avais reproduit mon sortilège, mais en plus efficace ! Il faut que j'apprenne comment utiliser ce pouvoir pour le moins intéressant !
Toujours est-il qu'il nous appris assez rapidemment que la petite ville de Ploubagnac avait été attaqué par des horde de goblins et avait étée complètement rasée. Nous décidâmes donc d'aller voir par nous même de quoi il en retournait.
Je profite de ce moment de trajet pour écrire ces lignes avant de m'endormir sur mon cheval, Rimbanbelle, car j'ai veillé toute la nuit et je sens la fatigue me gagner.
Nuit
Nous arrivâme à Ploubagnac après un temps que je ne saurais dire. Le village n'était que ruines et cendres fumantes, mes compagnons entreprirent de le fouiller, quand, soudain j'entendis des pleurs. Séraphina s'approcha du bruit en silence, et découvris une petite fille qui cria à la vue de Targh. Son dialecte nous étant inconnu et notre magicien n'ayant pas le temps ou la force de recréer son sortilège, j'entrepris donc de la calmer en lui jouant un air de ma harpe. Tout le monde sait que la musique appaise les esprits et ce fut le cas, la petite fille semblais réellement fascinée par mes airs. Nous nous concertâmes donc pour savoir ce qu'il fallais en faire, nous ne pouvions guère la laisser ici ! Je voulu la rammener scéance tenante à Tensia, mais Séraphina m'assura qu'elle pouvais faire l'aller retour rapidemment, je lui conifit donc l'enfant et me rendormit.
Petit Matin du second jour.
Je fut réveillée par Séraphina qui avais apparement mené sa mission à bien me réveilla car nous étions tombé dans une ambuscade à l'orée de la foret. Tout se passa très vite. Mon groupe s'était dispersé et chacun des membres était aux prises avec des hobbgoblins, dimmondes créature qui de vivent que par la violence et dont leur dont leur force n'a dégale que leur intelligence mesquine.
Le temps que je me prépare au combat, certains de mes compagnons avaeint étés bléssés, Targh faisait tournoyer sa massue fauchant au passage les créatures, malgré la javeline qui s'était fichée dans son cuir épais, alors que d'un autre côté, Séraphina se battait à main nu, esquivant coup sur coup, Akdov quand à lui, un nain du nord que j'avais rencontré durant mes précédentes pérégrinations, était aux prises avec d'autres créatures. Je sortis ma harpe et entrepris de galvaniser mes compagnons. assez rapidemment le combat fut fini et je suis occupé de soigner les blessures de mes compagnons.
Nous continuames à suivre la piste des goblins à travers la forêt, quand je put reperrer une piste qui s'enfonçais dans la végétation plus que luxuriante. Nous la suivîmes donc. La nature avais prise partout, des ronces nous écorchaient alors que nous tentions de trouver des signes de piste. Nous nous sommes trompé plusieurs fois, mais en y prenant plus garde, nous pûmes retrouver la bonne route. nous avons donc marché deux ou trois heures sous la voute des arbres. Soudain sans que nous puissions nous y attendre nous débouchâmes sur une clarière donc la tranquillité m'emplit le coeur. Quatre monolithes se dressaient fièrement au centre de ce havre de paix.